Tu avais prévu 30 minutes.
Une boucle propre, un retour avant l’apéro.
Mais voilà.
Un virage raté, un sentier sablonneux, un panneau effacé… et te voilà, paumé dans les pins, avec du sable plein les baskets et un sourire que t’expliques pas.
Le vélo sur le Bassin, ce n’est pas un moyen de transport.
C’est un filtre.
Il t’enlève la vitesse, les vitres, les raccourcis.
Et parfois, il t’enlève aussi l’itinéraire.
Et c’est justement là que tout commence.
👉 Une pinasse oubliée dans un jardin.
👉 Un chien qui dort au soleil devant une cabane fermée.
👉 Une odeur d’iode et de résine qui te tombe dessus comme une gifle de vacances.
Tu voulais arriver quelque part.
Tu t’es retrouvé au bon endroit.
À retenir :
Sur le Bassin, il y a deux façons de voyager :
celle des applications et des parcours fléchés
et celle des hasards, des silences, des virages mal pris
Et tu sais quoi ?
C’est souvent quand tu ne sais plus où tu vas…
que tu commences vraiment à être ici.
Une boucle propre, un retour avant l’apéro.
Mais voilà.
Un virage raté, un sentier sablonneux, un panneau effacé… et te voilà, paumé dans les pins, avec du sable plein les baskets et un sourire que t’expliques pas.
Le vélo sur le Bassin, ce n’est pas un moyen de transport.
C’est un filtre.
Il t’enlève la vitesse, les vitres, les raccourcis.
Et parfois, il t’enlève aussi l’itinéraire.
Et c’est justement là que tout commence.
👉 Une pinasse oubliée dans un jardin.
👉 Un chien qui dort au soleil devant une cabane fermée.
👉 Une odeur d’iode et de résine qui te tombe dessus comme une gifle de vacances.
Tu voulais arriver quelque part.
Tu t’es retrouvé au bon endroit.
À retenir :
Sur le Bassin, il y a deux façons de voyager :
celle des applications et des parcours fléchés
et celle des hasards, des silences, des virages mal pris
Et tu sais quoi ?
C’est souvent quand tu ne sais plus où tu vas…
que tu commences vraiment à être ici.