Les blessures dues aux couteaux à huîtres nécessitent quelque fois des interventions chirurgicales
Sur le Bassin d’Arcachon, les huîtres font partie du décor de fin d’année.
On croit maîtriser le geste, on se sent invincible devant la bourriche… jusqu’au moment où la lame ripe.
Chaque décembre, les services SOS Mains tirent la sonnette d’alarme : plus de 2 000 blessures en France, souvent concentrées entre Noël et le Nouvel An.
Et quand la coupure touche un tendon ou un nerf, ce n’est plus un simple “aie”… c’est une année qui bascule.
Les chirurgiens décrivent toujours la même scène : un couteau trop fin, une coquille coriace, une main trop confiante.
Résultat : plaies profondes de la paume ou du pouce, perte de sensibilité, saignements persistants, infections dues aux éclats de coquille.
Des accidents qui, chaque 24 décembre en fin d’après-midi, remplissent les salles d’attente jusque sur le Bassin.
Comment éviter le passage aux urgences ?
Sur le papier, la prévention est simple et change tout : Un couteau à huîtres adapté Un gant anti-coupure ou une bonne épaisseur de torchon Une surface stable et un geste lent, en rotation, jamais vers la paume Pas d’ouverture si l’on est fatigué… ou déjà en plein apéritif festif Beaucoup d’urgentistes rappellent un conseil radical mais efficace : faire ouvrir ses huîtres par un écailler professionnel.
Sur le Bassin d’Arcachon, ils sont nombreux à proposer ce service autant éviter de transformer la cuisine en bloc opératoire.
En cas de coupure
Même petite, une plaie doit être lavée, désinfectée, compressée et montrée à un médecin. Fourmillements, perte de mobilité, saignement important ou coupure au pouce/à la paume : direction urgences.
Et surtout, vérifiez votre vaccin antitétanique.
Chaque année, les fêtes rappellent une évidence : l’huître se déguste, la prudence aussi.
Sur le Bassin, les tables sont déjà assez belles pour ne pas y ajouter un passage aux urgences.
On croit maîtriser le geste, on se sent invincible devant la bourriche… jusqu’au moment où la lame ripe.
Chaque décembre, les services SOS Mains tirent la sonnette d’alarme : plus de 2 000 blessures en France, souvent concentrées entre Noël et le Nouvel An.
Et quand la coupure touche un tendon ou un nerf, ce n’est plus un simple “aie”… c’est une année qui bascule.
Les chirurgiens décrivent toujours la même scène : un couteau trop fin, une coquille coriace, une main trop confiante.
Résultat : plaies profondes de la paume ou du pouce, perte de sensibilité, saignements persistants, infections dues aux éclats de coquille.
Des accidents qui, chaque 24 décembre en fin d’après-midi, remplissent les salles d’attente jusque sur le Bassin.
Comment éviter le passage aux urgences ?
Sur le papier, la prévention est simple et change tout : Un couteau à huîtres adapté Un gant anti-coupure ou une bonne épaisseur de torchon Une surface stable et un geste lent, en rotation, jamais vers la paume Pas d’ouverture si l’on est fatigué… ou déjà en plein apéritif festif
Sur le Bassin d’Arcachon, ils sont nombreux à proposer ce service autant éviter de transformer la cuisine en bloc opératoire.
En cas de coupure
Même petite, une plaie doit être lavée, désinfectée, compressée et montrée à un médecin. Fourmillements, perte de mobilité, saignement important ou coupure au pouce/à la paume : direction urgences.
Et surtout, vérifiez votre vaccin antitétanique.
Chaque année, les fêtes rappellent une évidence : l’huître se déguste, la prudence aussi.
Sur le Bassin, les tables sont déjà assez belles pour ne pas y ajouter un passage aux urgences.