
C’est un fait : le Bassin change.
Des lotissements naissent là où il y avait des champs, des villas remplacent les cabanes, et les anciens reconnaissent à peine les contours de leur village.
Et oui, parfois ça pique.
Parce que ce n’est pas qu’une affaire de maisons.
C’est une histoire d’ambiance, de rythme, de respiration.
Quand on remplace des haies par des murs, ou une place de marché par un parking, c’est un morceau de lien social qui disparaît.
Mais attention : ce n’est pas une charge contre ceux qui bâtissent.
👉 Bien au contraire.
Les professionnels du bâtiment, de l’aménagement, de la rénovation, sont souvent les premiers à aimer ce territoire.
Ce sont eux qui imaginent des maisons mieux isolées, des voiries plus sûres, des accès plus fluides.
Ce sont eux qui, sous la chaleur ou sous la pluie, rendent nos logements plus confortables, nos espaces publics plus accessibles.
Et ce confort, on le mérite tous.
👉 Ce qu’on remet en question, ce n’est pas leur métier.
C’est le cap. Le manque de vision. L’empilement sans cohérence.
Le risque qu’on oublie que le confort ne devrait jamais se faire au détriment de l’âme d’un lieu.
💡 À retenir :
Construire, ce n’est pas “remplir”. C’est composer.
Et si demain, architectes, artisans, habitants, élus et naturalistes s’assoyaient autour d’une même table, on pourrait peut-être retrouver ce juste milieu :
➡️ un Bassin vivant,
➡️ un territoire habité,
➡️ et des professionnels fiers de construire un avenir… qui ne ressemble pas à une copie de banlieue.
Des lotissements naissent là où il y avait des champs, des villas remplacent les cabanes, et les anciens reconnaissent à peine les contours de leur village.
Et oui, parfois ça pique.
Parce que ce n’est pas qu’une affaire de maisons.
C’est une histoire d’ambiance, de rythme, de respiration.
Quand on remplace des haies par des murs, ou une place de marché par un parking, c’est un morceau de lien social qui disparaît.
Mais attention : ce n’est pas une charge contre ceux qui bâtissent.
👉 Bien au contraire.
Les professionnels du bâtiment, de l’aménagement, de la rénovation, sont souvent les premiers à aimer ce territoire.
Ce sont eux qui imaginent des maisons mieux isolées, des voiries plus sûres, des accès plus fluides.
Ce sont eux qui, sous la chaleur ou sous la pluie, rendent nos logements plus confortables, nos espaces publics plus accessibles.
Et ce confort, on le mérite tous.
👉 Ce qu’on remet en question, ce n’est pas leur métier.
C’est le cap. Le manque de vision. L’empilement sans cohérence.
Le risque qu’on oublie que le confort ne devrait jamais se faire au détriment de l’âme d’un lieu.
💡 À retenir :
Construire, ce n’est pas “remplir”. C’est composer.
Et si demain, architectes, artisans, habitants, élus et naturalistes s’assoyaient autour d’une même table, on pourrait peut-être retrouver ce juste milieu :
➡️ un Bassin vivant,
➡️ un territoire habité,
➡️ et des professionnels fiers de construire un avenir… qui ne ressemble pas à une copie de banlieue.