Charles Fuster en pleine discussion à propos de son dernier roman à la librairie Victor Hugo à La Teste
Le titre nous faisait croire à un roman d’aventure, quelque part entre Kerouac et Nicolas Vanier.
Mais Arcachon, l’appel du large n’a rien d’un livre classique.
Et c’est justement peut être là que réside sa force.
Pas de grande montée dramatique.
Pas de héros qui se transforme.
Pas de structure à la Hollywood.
À la place : un homme, une femme, un amour… et le long fil d’une vie entre les lignes.
J’ai rencontré Charles Fuster. Il m’a dit ceci :
Et là, tout s’éclaire.
Ce n’est pas un roman, c’est une réponse.
À une demande intime, à une promesse faite, à une histoire vécue qu’on voulait garder vivante.
Line, son personnage féminin, n’est pas un archétype.
Elle est une femme réelle, avec ses élans et ses silences.
Louis, lui, trace la route. Parfois à tort, souvent à l’instinct.
Leur couple tangue, se sépare, se retrouve.
On ne lit pas ce livre comme on lirait un roman.
On le lit comme un album de vie, rédigé avec pudeur, sans vouloir briller.
Arcachon y est presque effacé.
Mais c’est un effacement volontaire.
Le Bassin, ici, est un point d’ancrage. Le port d’attache d’un amour qui a voulu partir loin… sans jamais vraiment quitter la côte.
Et ça interroge.
Faut-il respecter les règles du roman pour dire vrai ?
Peut-on juger une œuvre dont l’ambition n’est pas de plaire au lecteur, mais de toucher une seule personne ?
Moi, je crois que oui.
Et je crois que Charles Fuster, en refusant d’être là où on l’attend, signe un acte littéraire à sa manière.
Pas spectaculaire, mais sincère.
Pas académique, mais profondément humain.
Et vous, que pensez-vous de ces romans hybrides ?
Ces récits à mi-chemin entre le journal intime et le récit de voyage ?
Est-ce qu’on peut les juger avec les mêmes critères que les autres ?
Je serais curieux de lire vos avis.
Parce qu’un livre comme celui-ci, ça ne se classe pas.
Ça se partage. Ou pas.
Mais ça mérite, au moins, qu’on en parle.
Mais Arcachon, l’appel du large n’a rien d’un livre classique.
Et c’est justement peut être là que réside sa force.
Pas de grande montée dramatique.
Pas de héros qui se transforme.
Pas de structure à la Hollywood.
À la place : un homme, une femme, un amour… et le long fil d’une vie entre les lignes.
J’ai rencontré Charles Fuster. Il m’a dit ceci :
“70 % de ce livre, c’est ma vie. Les 30 % restants, c’est ce que ma femme aurait aimé lire.”
Et là, tout s’éclaire.
Ce n’est pas un roman, c’est une réponse.
À une demande intime, à une promesse faite, à une histoire vécue qu’on voulait garder vivante.
Line, son personnage féminin, n’est pas un archétype.
Elle est une femme réelle, avec ses élans et ses silences.
Louis, lui, trace la route. Parfois à tort, souvent à l’instinct.
Leur couple tangue, se sépare, se retrouve.
On ne lit pas ce livre comme on lirait un roman.
On le lit comme un album de vie, rédigé avec pudeur, sans vouloir briller.
Arcachon y est presque effacé.
Mais c’est un effacement volontaire.
Le Bassin, ici, est un point d’ancrage. Le port d’attache d’un amour qui a voulu partir loin… sans jamais vraiment quitter la côte.
Et ça interroge.
Faut-il respecter les règles du roman pour dire vrai ?
Peut-on juger une œuvre dont l’ambition n’est pas de plaire au lecteur, mais de toucher une seule personne ?
Moi, je crois que oui.
Et je crois que Charles Fuster, en refusant d’être là où on l’attend, signe un acte littéraire à sa manière.
Pas spectaculaire, mais sincère.
Pas académique, mais profondément humain.
Et vous, que pensez-vous de ces romans hybrides ?
Ces récits à mi-chemin entre le journal intime et le récit de voyage ?
Est-ce qu’on peut les juger avec les mêmes critères que les autres ?
Je serais curieux de lire vos avis.
Parce qu’un livre comme celui-ci, ça ne se classe pas.
Ça se partage. Ou pas.
Mais ça mérite, au moins, qu’on en parle.
Où acheter Arcachon l’appel du large ?
Arcachon L’appel du large, dernier roman de Charles Fuster