Dans les brochures, ça s’appelle “projets d’aménagement”.
Dans la vraie vie, on appelle ça “un nouveau lotissement là où, avant, y’avait un champ”.
Un rapport récent sur l’artificialisation des sols le confirme : même sur le Bassin, la nature cède du terrain. Lentement. Silencieusement. Mais sûrement.
Et attention, on ne parle pas de zones industrielles.
Non. Ce sont les villages ostréicoles, les cœurs vivants, les lieux où le bois craque, où le sel colle aux volets, qui commencent à se lisser, à se gentrifier, à se vitrifier.
👉 Le problème ?
Ce n’est pas que les maisons soient jolies. C’est qu’on remplace un mode de vie par une esthétique.
On fige ce qui, par essence, est vivant.
Le Bassin attire. Tant mieux.
Mais à force de séduire, ne va-t-on pas finir par se vendre… un peu trop bien ?
À retenir :
Si chaque génération laisse une trace, la nôtre devrait peut-être réfléchir à la nature de cette empreinte.
Et si possible, éviter qu’elle ressemble à un parking.
Dans la vraie vie, on appelle ça “un nouveau lotissement là où, avant, y’avait un champ”.
Un rapport récent sur l’artificialisation des sols le confirme : même sur le Bassin, la nature cède du terrain. Lentement. Silencieusement. Mais sûrement.
Et attention, on ne parle pas de zones industrielles.
Non. Ce sont les villages ostréicoles, les cœurs vivants, les lieux où le bois craque, où le sel colle aux volets, qui commencent à se lisser, à se gentrifier, à se vitrifier.
👉 Le problème ?
Ce n’est pas que les maisons soient jolies. C’est qu’on remplace un mode de vie par une esthétique.
On fige ce qui, par essence, est vivant.
Le Bassin attire. Tant mieux.
Mais à force de séduire, ne va-t-on pas finir par se vendre… un peu trop bien ?
À retenir :
Si chaque génération laisse une trace, la nôtre devrait peut-être réfléchir à la nature de cette empreinte.
Et si possible, éviter qu’elle ressemble à un parking.